Global Poker a commencé à verser de l’argent aux joueurs affectés par le dernier scandale de tricherie à frapper le poker en ligne.
Le scandale de tricherie chez Global Poker
Le mois dernier, des joueurs se sont rendus sur le forum 2+2 pour se plaindre d’un joueur nommé “projectbaby97” qui est accusé d’avoir utilisé GTO Wizard pendant le jeu pour gagner jusqu’à 200 000 $.
L’outil solveur en ligne GTO Wizard a récemment ajouté une fonction de sécurité appelée Fair Play Check, qui permet aux utilisateurs de voir si une main particulière a été résolue en même temps qu’elle était jouée.
Dans le cas de “projectbaby97”, nous pouvons voir que plusieurs mains correspondent, mais comme toujours, il n’est pas si simple d’être sûr que l’accusé est vraiment coupable.
Les résultats de l’enquête
Récemment, Chris Battenfield a été disculpé des mêmes accusations, tout comme un autre joueur connu sous le nom de UrNightmare. GTO Wizard a apparemment généré des résultats aberrants ou des faux positifs. “Projectbaby97”, cependant, n’était pas hors de danger, même si Global Poker lui permettait toujours de jouer.
Mais le 17 novembre, l’enquête a été achevée et “Projectbaby97” avait disparu du site.
Un participant sur 2+2 a écrit : “Il est banni ! Et beaucoup de gens contre qui il a joué ont reçu un remboursement. La dernière semaine où il jouait, il narguait les autres joueurs en disant qu’il n’avait pas été banni et qu’il faisait d’énormes retraits malgré l’enquête. Une vraie classe.”
Un autre participant a ajouté : “J’ai reçu 340 ce matin de Global ! Je me demandais si cela avait à voir avec Projectbaby. J’ai joué avec lui quelques fois.” En l’absence de toute déclaration détaillée de la part de Global Poker, nous ne pouvons être sûrs d’où provient la preuve définitive. Était-il enfin satisfait des preuves de GTO Wizard, ce qui signifie que le standard de l’outil Fair Play Check est maintenant suffisamment précis pour bannir un joueur de lui-même ?
Jusqu’à présent, seuls trois joueurs ont été publiquement dénoncés avec des preuves de Fair Play Check, dont deux sont apparemment tombés victimes de faux positifs. Cela signifie que les preuves ne valaient pas plus qu’un simple élan pour une enquête plus approfondie.
